Contribuables Associés

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Dans le cadre des «Matinales du contribuable», Contribuables Associés a le plaisir de vous inviter à une rencontre exceptionnelle avec Marie-Estelle Dupont sur le thème :

« Plaidoyer pour nos libertés ! »

Mardi 07 novembre 2023 de 9h15 à 11h (petit-déjeuner à partir de 8h45) 

13, rue du Quatre-Septembre 75002 Paris (1er étage) 

Marie-Estelle Dupont est psychologue clinicienne, essayiste et chroniqueuse. Invitée régulière des médias, son franc-parler et ses analyses psychologiques de la société, étayées par la précision de ses connaissances, détonnent sur les plateaux. 

Le budget 2024 a été présenté mercredi 27 septembre en Conseil des ministres. Encore une occasion ratée de reprendre le contrôle de notre destin et d’alléger la charge qui pèse sur les Français et leurs enfants, déplore Benoît Perrin de «Contribuables Associés».


Pour lutter contre le harcèlement à l’école, le ministre de l’Éducation nationale Gabriel Attal a promis cette semaine d’inscrire dans le cursus scolaire des « cours d’empathie », dès la maternelle. À la lecture du projet de loi de finances 2024, son collègue du Budget Thomas Cazenave aurait intérêt à y ajouter un module de propagande intitulé « Accepter avec allégresse de payer les dettes de l’Etat » ! Sans quoi, il y a fort à parier que nos enfants nous demanderont à juste titre des comptes.

Moscovici inquiet

Alors que l’urgence d’une gestion rigoureuse de l’argent public (comprendre : l’argent des contribuables) est désormais dans tous les esprits, les actes tardent à venir. Le gouvernement prévoit dans son plan un déficit de près de 140 milliards d’euros, soit plus de 35% entre ses recettes et ses dépenses. La raison ? Comme tous ses prédécesseurs depuis 1974, l’actuel gouvernement a fait le choix de présenter un budget largement en déficit. Certes il y a un léger mieux, Bercy ambitionne de ramener ce dernier à 4,4 % de notre PIB (contre 4,9 % en 2023) mais en se basant sur un taux de croissance auquel ni l’INSEE, ni la Banque de France ne croient. Le président de la Cour des comptes Pierre Moscovici évoquait hier « des prévisions optimistes ». Pire, « peu de mesure d’économies structurelles » sont au programme, selon lui. Tout est dit lorsque l’on connaît la prudence diplomatique de l’ancien ministre des Finances de François Hollande. Au total, seulement 16 milliards d’économies (dont la plus grande partie proviendra de l’extinction progressive du bouclier tarifaire pour l’électricité) pour plus de… 491 milliards de dépenses !

C’est pourtant là que le gouvernement était attendu. La France dépense trop : en 2022, les dépenses publiques représentaient 58,3 % de la richesse nationale. Les plus jeunes d’entre nous espéraient, avec le lancement des « Assises des finances publiques », qu’un changement de paradigme interviendrait. La montagne d’espérances a de nouveau accouché d’une souris.

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L'argent public doit respecter la pluralité des opinions et l’endettement doit être maîtrisé au plus vite pour éviter que le paiement des intérêts de la dette ne devienne le premier poste budgétaire de l'État. [Contribuables Associés sur Sud Radio]

 

[quix id='330' name='Vif débat sur la liberté de la presse et la dette publique !']

Incapable de bien gérer notre argent, l'Etat envisage de piocher dans les caisses d'Agirc - Arrco, l'organisme (bien géré !) en charge des retraites complémentaires (environ 50% des pensions). Pour alerter les Français, Contribuables Associés dénonce ce scandale d'Etat ! [Contribuables Associés sur CNEWS]

[quix id='329' name='⚠ L'Etat veut ponctionner les retraites du privé ⚠']

"Nous attendions une occasion pour intervenir et Anne Hidalgo nous l'a servie sur un plateau d'argent ". Entretien avec Me Jean-Pascal Michaud, avocat fiscaliste, requérant devant la justice pour faire annuler la hausse sans précédent de la taxe foncière à Paris.

Signez ici notre pétition contre l'explosion de la taxe foncière ! 

[quix id='328' name='La taxe foncière explose : il attaque la mairie de Paris [Entretien Contribuables Associés]

Bercy nous inonde de chiffres généreux, mais à chaque nouvelle promesse nous vient une question : comment la financer ? La réponse est simple : par la dette. C’est-à-dire avec l’argent des prochaines générations. [Tribune de Contribuables Associés dans Contrepoints]

Il serait fastidieux d’entrer dans le détail de tous les montants avancés, mais certains sautent aux yeux.

L’urgence budgétaire plutôt que climatique

Ainsi, Bruno Le Maire annonce fièrement que la dette n’augmentera pas et que notre déficit public passera sous la barre des 5 % du PIB en 2024.

En réalité, puisque l’État continue d’emprunter, cette dette continue de croître et reste au niveau intenable de 109,7 % du PIB (que le ministre annonce ingénument vouloir ramener à… 108,1 % d’ici 2027). Quant à notre déficit, il est l’un des plus élevés d’Europe, et en 2026, la France restera le seul pays avec la Bulgarie, l’Estonie et la Slovaquie à dépasser la barre des 3 % du PIB pour le déficit. Pendant ce temps, des pays comme la Grèce, Chypre, le Portugal ou l’Irlande reviennent progressivement à l’équilibre. Les grands déficits ne sont pas le syndrome des grands pays puisque même l’Allemagne est attendue sous la barre des 1 % du PIB.

Le gouvernement prévoit une augmentation des recettes fiscales de 17,3 milliards d’euros. On pourrait se dire qu’il est normal que les recettes fiscales augmentent avec la croissance. En réalité, il faut surtout comparer les recettes attendues en 2024 avec les dépenses envisagées la même année : 372 milliards d’euros (dont 350 milliards d’euros d’impôt) d’un côté, et 512 milliards d’euros de l’autre. Soit 140 milliards d’euros de dépenses en plus que de recettes. Quel ménage ou quelle entreprise survivrait à un tel écart ?

Certes, un État n’est pas un foyer ou une entreprise (quoique : ne parle-t-on pas de « Maison France » ? Les bons principes de gestion sont universels !) mais c’est tout de même de l’argent qu’il faudra bien rembourser un jour, et l’argument selon lequel « c’est moins pire qu’avant » (160 milliards d’euros de solde négatif en 2023) semble dérisoire lorsque l’on sait que ce nouveau déficit s’ajoute à une dette globale qui dépasse déjà les 3000 milliards d’euros.

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L’écologie doit-elle être une priorité nationale ? La dette abyssale de la ville de Paris. L'échec du projet gouvernemental de vente à perte du carburant. Benoît Perrin, le directeur de Contribuables Associés, est au micro des "Vraies Voix" sur Sud Radio.

[quix id='327' name='Contribuables Associés défend les contribuables sur Sud Radio']

"Un fraudeur se vante sur les réseaux sociaux de toucher 1 800 euros d'allocations "sans rien faire". C'est une insulte à ceux qui travaillent pour nourrir leur famille et soutiennent, par leurs cotisations, ceux qui sont vraiment dans le besoin. La fraude sociale est un fléau que le gouvernement doit combattre avec la plus grande des fermetés !" Benoît Perrin, directeur de Contribuables Associés, sur CNews le 19 septembre 2023.

[quix id='326' name='La fraude sociale est un fléau ! [Benoît Perrin sur CNEWS]

L’éclairage du jour : l’Affaire Mertel – Quels sont les vrais chiffres de la fraude sociale ? Avec Jean-Baptiste Leon, directeur des publications de Contribuables Associés.

[quix id='325' name='Mertel : le scandale qui dévoile le gouffre financier de la fraude sociale - Jean-Baptiste Léon']

 

[quix id='324' name='Trop de normes, c'est trop d'impôts !']

Trop de normes, c'est trop d'impôts ! Invité de Sud Radio, Contribuables Associés a dénoncé le scandale de la bureaucratie française : elle produit des normes donc des coûts pour le contribuable. Partagez pour sensibiliser les Français à ces coûts cachés !