Claude Garrec
Secrétaire Général
de Contribuables Associés
Cher ami,

Voilà des années que je me suis engagé, avec toute l’équipe de Contribuables Associés, pour lutter contre le gaspillage d’argent public et l’excès d’impôts… 

Aujourd’hui plus que jamais, je suis remonté…. Remonté comme jamais pour lutter contre un État, représenté par des élus et hauts fonctionnaires sans empathie, égoïstes, déconnectés de toute réalité et qui nous font croire qu’ils travaillent pour nous et nos intérêts.

Il y a quelque temps, notre directeur vous a raconté l’histoire de son amie qui a perdu sa maman d’une longue maladie et qui commençait son douloureux parcours pour régler sa succession. Elle a fini par la clôturer au prix de sacrifices et déchirements. Avec ses faibles revenus, elle n’a pas pu garder toutes les choses auxquelles elle tenait.
Et puis, la crise de la Covid19 est arrivée. Autour de moi un certain nombre d’amis ont perdu un parent dans des conditions dramatiques. Ils n’ont même pas pu faire le deuil de la perte de l’être aimé que l’État était déjà en train de les asphyxier avec la succession.
Nous aurions pu imaginer que dans ces circonstances exceptionnelles, l’État aurait mis un peu d’humanité dans ses règles… et bien non ! La machine à broyer a vrombi sans discontinuer et le délai de 6 mois s’est enclenché comme d’habitude pour faire payer les droits de succession.
Je suis toujours aussi scandalisé par la TVA de 20% sur les frais d’obsèques. Comme si se faire inhumer n’était pas un produit de première nécessité
Par comparaison, les jeux et manèges forains, les droits d’entrée des musées, zoos et monuments ont une TVA à 10%. Certaines importations et livraisons d’œuvres d’art, la billetterie de spectacle vivant et de cinéma sont à 5,5%.

Avec l’équipe de Contribuables Associés, nous avons commencé notre bataille contre « l’impôt sur la mort » il y a plusieurs mois.

Nous avons déjà déposé des dizaines de milliers de pétitions signées par les membres sur le bureau de Gérald Darmanin, quand il était ministre de l’Action et des Comptes Publics.

Mais ne rêvez pas, le sujet ne va pas devenir une priorité du jour au lendemain. Ce sera un combat de longue haleine.

Vous imaginez bien que l’État ne va pas se priver d’une source financière intarissable. Car une chose est sûre, c’est que tous les jours il y a des morts qui sont là pour financer le train de vie du pays.

Nous allons devoir montrer que nous sommes très remontés et que nous sommes bien décidés à mettre la réforme des droits de succession sur le devant de la scène politique.

Quand nous avons déposé les premières pétitions sur le bureau de Gérald Darmanin, nous avons eu l’assurance que le sujet allait être examiné avec attention.

Mais chez Contribuables Associés nous sommes habitués à déjouer les discours anesthésiants des politiques destinés à calmer les contribuables. Nous trouvons l’énergie de continuer à nous battre au nom de tous.

En mai 2021, Les Echos titraient :

« Impôts sur les successions :
l’assurance-vie dans le viseur »
Quand je vous dis qu’ils ont bien l’intention de venir chercher l’argent partout où  ils le pourront. Nous devons être vent debout dès aujourd’hui contre cette idée qui pourrait germer rapidement dans la tête des élus.

Mais je suis inquiet, car encore beaucoup trop de membres de Contribuables Associés n’ont pas répondu à mes courriers d’appel à pétition à l’attention de Gérald Darmanin. Au point que je finis par me demander si cela vaut le coup que l’association se batte pour obtenir la suppression des droits de succession en France.


Alors que 9 Français sur 10 vont laisser un patrimoine en héritage, 90% des contribuables devraient être derrière moi dans cette bataille.

Je ne parle pas des grosses fortunes et des gros héritages. Celles-ci sont entre les mains de professionnels fiscalistes. Ils auront fait leur travail pour essayer de soustraire un maximum d’argent et de biens à l’impôt sur les successions. Je vous parle de vous et moi. Français moyens, qui vivons de notre salaire ou de notre retraite, payons des impôts et nous privons souvent pour construire un petit capital à transmettre à nos enfants et petits-enfants, un neveu ou une nièce, un époux ou une épouse, ou tout simplement la personne avec laquelle on partage sa vie.

C’est nous que les politiques et les organisations mondiales ont dans leur viseur. En février 2021, la députée socialiste Christine Pires Beaune a présenté un rapport visant à réformer la fiscalité des successions. L’OCDE a expliqué qu’il valait mieux taxer les successions que rétablir l’impôt sur la fortune.

Je vous informe que les successions sont dans le collimateur et que nous risquons d’avoir des surprises douloureuses si nous ne réagissons pas ! La sphère politique voit là une belle opportunité de faire rentrer du cash dans les caisses vides de l’État.

La bataille ne fait que commencer.

Car si nous ne réagissons pas dès maintenant, nous leur donnons toutes les raisons de continuer à préparer leur funeste plan.

Nous devons dire STOP à LA SPOLIATION de nos biens par l’État. Car n’ayons pas peur des mots, l’État nous spolie. Tout ce que nous laisserons en héritage aura déjà été taxé de notre vivant. Quand on sait que l’État peut prendre jusqu’à 60% d’impôts sur un héritage qui a déjà été taxé du vivant de la personne, c’est scandaleux  et, je dirais même, malhonnête.

Le jour où nous fermerons les yeux, nous devons pouvoir dire que nous avons tout fait pour protéger nos héritiers et leur transmettre l’intégralité du fruit de notre travail et de nos sacrifices.
Croyez-moi, la bataille de Contribuables Associés a toute légitimité pour aboutir. Pour l’exemple, le Portugal a supprimé les droits de succession en 2004 pour les conjoints et les descendants et les ascendants, la Russie en 2005, la Suède en 2005, l’Autriche en 2008, la Norvège en 2014 ; l’Allemagne a réformé, la Grèce  jouit d’un taux sur les droits de succession très favorable par rapport à la France, des  abattements très significatifs sont appliqués en Italie.
La fin des droits de succession tels qu’on les connaît en France, c’est possible ! Mais pour cela j’ai besoin de vous savoir tous avec moi dans la bataille.

Car je vais être très clair, si nous ne sommes que 50 000 à demander la fin des droits de succession, nous ne serons pas pris au sérieux.

Alors je vous le demande solennellement : êtes-vous avec moi dans cette bataille ? Cliquez ici pour rejoindre notre action et signer notre pétition !

Personnellement, je ne me résous pas à laisser à l’État une partie de mes biens au détriment de mes enfants. C’est une idée qui m’est insupportable tellement elle est injuste. J’ai déjà travaillé toute ma vie pour l’État. Je trouve scandaleux qu’il se gave encore sur ma mort.
Mais je le redis, si nous ne sommes pas assez nombreux dans cette bataille, l’association n’ira pas au combat. Et si nous ne le faisons pas, il n’y aura personne pour le faire. Nous laisserons la porte ouverte aux élus pour réformer les droits de succession, et je peux vous dire que cela n’ira pas dans un sens favorable aux contribuables.
J’ai besoin de pouvoir déposer au moins 200 000 pétitions pour continuer le combat que nous avons commencé.

Alors je vous en prie, si vous avez décidé que vos héritiers ne seront pas les proies de l’administration fiscale, il faut réagir maintenant. Je vous invite aussi à faire réagir les gens qui seront les bénéficiaires de votre succession. Car après tout, ce sont eux qui seront spoliés.

Dans un tout premier temps j’ai bien l’intention de demander que l’on commence par réviser la TVA sur les frais d’obsèques. Il serait plus que temps que cette injustice soit réparée.

Je vous invite à me retourner aujourd’hui même la pétition que j’ai rédigée à l’attention d’Olivier DUSSOPT, ministre délégué chargé des Comptes publics, amputée symboliquement des 40 % qu’il vous restera après que l’État s’est gavé. Cliquez ici pour la signer. Il doit mettre le sujet sur la table. Nous avons prévu de solliciter tous les candidats à la présidentielle sur ce sujet.
Nous devons porter le sujet de la réforme des droits de succession dès la rentrée sur la table du ministre. Nous n’avons plus une minute à perdre, à un peu moins de 9 mois de l’élection présidentielle.
Je vous invite à soutenir Contribuables Associés dans ce combat par un don le plus généreux possible. Quel que soit le montant du don, 15 euros ou 50 euros par exemple, il sera très précieux pour continuer à mener bataille. Car sans vous, nous n’existons pas. Cliquez ici pour soutenir notre action et empêcher la spoliation de nos biens ! Il ne faut pas laisser carte blanche aux élus pour faire de nous ce qu’ils veulent.

Sincères remerciements,
Claude Garrec
Secrétaire Général

 

PS : nous avons payé toute notre vie ; nous ne devons plus accepter de payer par notre mort. Cliquez ici pour dire STOP et signer la pétition.

J’ai besoin de vous à mes côtés pour mener cette bataille contre les droits de succession dès aujourd’hui. N’hésitez pas à rassembler des gens pour nous rejoindre dans ce combat.