Exigeons « l'exclusion à vie »
du système social pour les fraudeurs
Pas de doute... ça fuit. À gogo.
Et c'est nous qui renflouons ce panier percé.
En payant sagement la CSG.
À coups de milliards. Tous les ans.
Une CSG qui grimpe sans cesse. Qui fait mal. Qui nous saigne... Vous trouvez ça normal ?
Non ! C’est pour ça que je vous écris. Dans cette lettre, je vous soumets un plan de bataille avec 2 leviers d’action forts pour défendre NOS intérêts. Mais revenons à la fraude sociale...
Si personne ne connaît le montant exact de la fraude sociale, tout le monde est d’accord sur un point :
Elle existe. Elle est significative. Elle s’accroît. Et on ne fait RIEN pour l’enrayer. Je parle d’une fraude à large spectre. Qui s’insinue partout :
Tous ces soins devraient être remboursés par les Etats d’origine de ces patients. Or il n’en est rien !
Et pendant ce temps, de plus en plus de Français n’ont pas les moyens d’acheter de simples lunettes de vue... ou de soigner leurs dents ! C’est le monde à L’ENVERS !
Il est URGENT de mettre en place des mécanismes d’enquête et de contrôle. Pour tracer, contrôler et sanctionner les fraudeurs.
Il est URGENT d’exiger le remboursement des soins de patients étrangers, par Ieur pays d’origine.
Il est URGENT d’exiger que les bénéficiaires de ce régime payent des cotisations sociales. Comme tout le monde !
L’argent public (notre argent) est massivement détourné par certains. Au détriment des Français. Mais il y a plus grave :
Bruno Le Maire a timidement dit le 18 avril 2023, qu’il fallait mettre un terme aux aides sociales qui partent à l’étranger. Cela fait des années que nous le dénonçons.
Aujourd’hui, sur les dizaines de milliards d’euros en jeu sur l’échiquier de la fraude sociale, seules quelques centaines de millions d’euros sont récupérées.
RIEN N’EST FAIT pour enrayer l’hémorragie.
Notre système social, non seulement permet les fraudes, mais les appelle !
Nous avons construit une usine à gaz, avec un enchevêtrement de centaines d’aides et de prestations, de seuils et de conditions de revenus. Même l’administration, pourtant pléthorique, est incapable de contrôler ses propres créations.
Le contrôle est insuffisant ! Et la Cour des comptes le dénonce depuis des années.
Pour réduire drastiquement la fraude, il suffirait simplement de mettre fin au « système déclaratif » en croisant les fichiers sociaux et fiscaux...
.. d’interdire le versement de prestations à l’étranger,
.. mettre en place une carte Vitale biométrique,
.. ou encore de faire appel à des sociétés privées pour faire la chasse aux fraudeurs.
On obtiendrait des résultats spectaculaires !
Mais non... ils ne font RIEN. Parce que c’est politiquement incorrect. Et que nos politiques veulent être réélus. Ils distribuent l’argent sans compter. Et vous voulez le pompon de l’histoire !
Lorsque d’aventure on met la main sur un fraudeur, il est rarement sanctionné.
La Cour des comptes ne cesse de le dénoncer : le nombre de sanctions réellement prononcées « est insuffisant au regard du nombre d’affaires frauduleuses détectées chaque année ».
Laxisme, tolérance et impunité règnent en maître.
STOP ! La fraude sociale doit devenir une priorité absolue. Notre Etat-Providence est exsangue. II en va de sa survie.
Ça suffit d’être généreux avec l’argent des autres ! De distribuer sans jamais rien contrôler. Pas même la véracité des déclarations « faites sur l’honneur » ouvrant droit à prestations.
Et pendant ce temps, on réduit les prestations des Français qui respectent les lois et payent des impôts. Il est urgent de rétablir la justice dans notre pays !
Vous voulez que ça change ?
Alors soutenez la campagne de Contribuables Associés. Interpellez les responsables politiques concernés pour que les choses bougent. Il ne suffit pas de faire des constats. Il faut agir !
Tous les ans nous enregistrons d’incroyables victoires.
Partout, les contribuables se regroupent pour faire pression. En Allemagne, aux USA, en Angleterre, en Suède... Des batailles sont gagnées.
Alors vous aussi ami contribuable, soutenez ce juste combat. Soudés et organisés, nous sommes une force de frappe décisive. Un puissant contre-pouvoir.
Agissons ! Voici ce que je vous propose pour enrayer l’hémorragie de la fraude sociale :
Oui ! RADIATION ! Voilà ce qui attend les fraudeurs qui volent l’argent des Français ; qui détournent sans scrupule les fonds publics (notre argent !).
Demandons à M. Macron, président de la République, de faire de la fraude sociale une priorité : c’est irresponsable de Iaisser dilapider 50 milliards par an sans sourciller, au moment où les Français voient Ieur pouvoir d’achat amputé, mutilé. Et c’est nous qui payons la facture ! Toujours nous !
Nous ne voulons plus renflouer le Titanic. Notre porte-monnaie est à sec ! Lançons un grand ULTIMATUM au ministre de la Justice et au président de la République
Exigeons :
Rétablir l’Etat de droit. Punir les coupables et dissuader les escrocs. Méthodiquement et avec fermeté. C’est le seul moyen d’enrayer l’hémorragie.
Êtes-vous prêt à vous battre pour ça ? Pour l’exclusion à vie du système social.
Alors dites-le moi ! Faisons pression sur le gouvernement !
Je peux tout faire POUR VOUS. Mais je ne peux rien faire SANS VOUS : j’ai besoin de votre légitimité pour agir ; et de votre générosité pour dérouler notre plan d’action. Votre don, c’est nos munitions !
Avons-nous le droit de fermer les yeux ? De laisser les fraudeurs se gaver sur la bête en toute impunité ? Alors qu’on réduit les prestations des Français qui respectent les lois et payent des impôts ?
Il est urgent de rétablir la justice dans notre pays !
Nous pouvons arracher une nouvelle victoire contre la fraude sociale.
Exigeons une modification de la loi pour que tout fraudeur, condamné définitivement, soit déchu à vie du droit aux aides et prestations sociales.
Pour ce faire, cliquez ici pour me renvoyer vos deux lNJONCTIONS D’AGIR signées et accompagnées de votre don le plus généreux possible pour mener à bien ce combat. Je les déposerai, avec celles de tous les Contribuables Associés, à M. Macron au Palais de l’Elysée, et sur le bureau doré de M. Dupond Moretti.
Je vous assure que chaque centime que vous voudrez bien nous donner, est un centime investi dans la défense de vos intérêts. Tout ce que nous faisons, nous le faisons pour vous.
De tout cœur, merci. Pour votre engagement.