Paris : Anne Hidalgo et Ian Brossat ou la folie des logements sociaux [Tribune de Jacques Mandorla]

Écrit par Jacques Mandorla
Ian-Brossat-Ville-de-Paris Jacques Paquier / Wikimedia Commons CC BY 2.0

Chaque année, la mairie de Paris dépense des centaines de millions d’euros avec nos impôts, pour un unique objectif : atteindre, en 2035, les 40% de logements sociaux dans la capitale.

par Jacques Mandorla, président de l'association des Contribuables Parisiens et Franciliens 

jacques mandorla

 

« Toujours plus ! ». C’est la devise d’Emmanuel Grégoire, premier adjoint d’Anne Hidalgo et de Ian Brossat, adjoint chargé du Logement à la mairie de Paris.

Toujours plus de logements sociaux (qui sont désormais, de façon plus discrète, appelés « logements publics » dans les documents officiels de la mairie de Paris !) : en 2025, l’objectif est de 25%, pour passer en 2030 à 30% et, le 1er adjoint Emmanuel Grégoire chargé de l'Urbanisme l’a annoncé dans Le Parisien du 5 février 2023, il est de 40% pour 2035 !

Rappelons qu’à Paris, le record est actuellement détenu par les XIIe et XIXe arrondissements avec 42% de logements sociaux ! 

Toujours plus de migrants pour profiter prioritairement de ces logements, comme l’a clamé Anne Hidalgo qui a souhaité, selon son expression, que « Paris accueille tous les migrants ».

Alors que de nombreuses personnes qui travaillent à Paris (sages-femmes, aides-soignants, infirmiers, éboueurs, ouvriers…) ne parviennent pas à se loger dans la capitale !

Et pendant ce temps-là, les classes moyennes quittent Paris : selon l’INSEE, il y avait 2 240 621 habitants en 2012 mais il n’en reste plus que 2 117 702 en 2022 soit une baisse de 122 919 habitants en 10 ans (5,5%). 

Toujours plus d’argent prélevés par la mairie sur les impôts des Parisiens pour acheter des appartements dans des sites improbables : hôtels particuliers, bâtiments de l’État français… !

Voyons, dans le détail, comment cette politique est menée par la mairie.

Paris : l’adjoint au Logement obsédé par la lutte des classes !

Ian Brossat, adjoint au Logement à la mairie de Paris, est responsable du plus grand échec du Parti communiste jamais obtenu aux élections européennes de 2019 où il n’a récolté que 2,49% des voix !

Il a été élevé dans le culte marxiste-léniniste par ses parents, un père trotskiste et une mère militante au PCF, sans compter un grand-père, Marcus Klingberg, qui fut un agent soviétique ayant effectué des missions d’espionnage en Israël !

S’attaquer aux « riches » !

Ian Brossat semble avoir un compte à régler avec ceux qu’il considère comme des « riches ».

En effet, il n’a pas hésité à déclarer : « Je suis partisan de taxer à 80% la part de revenu située au-delà de 10 000 euros de revenu par mois ».

Pour appliquer sa politique, Ian Brossat s’attaque aux quartiers qu’il considère comme riches… c’est-à-dire tous ceux où la droite l’a emporté aux dernières élections municipales !

Pour cela, il dépense sans compter.

Le rachat de nombreux hôtels particuliers !

Sa première acquisition a eu lieu rue Réaumur (non loin de la rue Montorgueil) : un hôtel particulier divisé en deux bâtiments, l’un datant du XVIIe siècle (dont les façades, toitures sur rue et cage d'escalier sont inscrits à l'inventaire supplémentaire des monuments historiques depuis 1997) et l’autre datant du début du XIXe siècle.

Coût : 7 millions d’euros pour installer 14 logements sociaux !

Ian Brossat a commenté ainsi son opération  : « Les appartements sont magnifiques. Ils allient le charme de l'ancien avec parquets dans les pièces à vivre, poutres apparentes et même un poêle prussien et le confort du neuf avec doubles vitrages, cuisine à l'américaine, VMC, vidéophonie dans les logements et local vélo ».

Puis, Ian Brossat a poursuivi son marché par l’achat de l’hôtel Voysin de Launay (datant du XVIIe siècle) situé 80, rue de Turenne, en plein cœur du Marais : un cadeau pour les 9 familles qui y ont emménagé.

Autre opération : l’hôtel Bournonville-Noailles (datant aussi du XVIIe siècle) situé au 334, rue Saint-Honoré (non loin de la place Vendôme) et qui a profité à 12 familles !

Ian Brossat s’est ensuite attaqué au 8e arrondissement en créant 120 logements sociaux : 84 ont été construits au 26, rue de Saint-Pétersbourg dans un ancien hôtel Art Déco et dans une partie de l’ancien couvent des Oblats (coût : 28,7 millions d’euros), 12 logements au 45, rue de Miromesnil et 24 logements au 12, rue de Monceau, avec vue sur la Tour Eiffel !

C’est là, a relaté Le Parisien, qu’un certain Djamal B., sa femme et ses quatre enfants vont désormais vivre dans un 108,5 m² pour 1 100 euros, après avoir vécu dans un 43 m² à Belleville.

La Ville de Paris met la main sur des bâtiments publics

Ian Brossat a aussi investi le 7e arrondissement en rachetant à l’État le bâtiment du ministère de la Défense, situé boulevard Saint-Germain et donnant sur la rue Saint-Dominique, pour y créer 254 logements sociaux livrables courant 2023.

En observant les chiffres, on se rend compte qu’un « étrange » marché a été passé entre l’État et la RIVP (Régie Immobilière de la Ville de Paris) : en effet, la cession a été conclue au prix dérisoire de 29 millions d’euros pour 11 000 m² habitables (soit 2 600 le m²) en profitant de la décote dite « Duflot », instaurée en 2013 et permettant à l’État de céder des terrains ou immeubles à bas prix pour y construire des logements.

Il est intéressant de noter qu’à l’époque le service « France Domaine » de la Direction générale des finances publiques (DGFiP), devenu aujourd’hui la Direction de l'immobilier de l'État (DIE), avait évalué la valeur de l’immeuble à… 350 millions d'euros ! Cherchez l’erreur !

Notons, par ailleurs, que le coût total des travaux, entrepris dans cet immeuble par la mairie de Paris, a été estimé à 46 millions d’euros !

Et Ian Brossat continue de dépenser l’argent de nos impôts : très récemment, il a fait voter une enveloppe de 82 millions d’euros… pour améliorer l’isolation et le confort dans les HLM.

Notons, au passage, que la gestion des logements sociaux laisse franchement à désirer : en 2020, le taux de loyers impayés a atteint 6,4% sur un total de 630 millions d’euros, soit une « ardoise » de 40,3 millions d’euros !

La mairie de Paris préempte 257 immeubles pour  y « créer de la mixité sociale » 

Ian Brossat est un adepte du « Droit de préemption urbain renforcé (DPUR) » sur lequel il se fonde pour pouvoir, en cas de vente, acquérir en priorité pour la ville de Paris des appartements privés et les transformer en logements sociaux.

Le programme de préemption de la mairie de Paris, voté en 2014, comporte 257 immeubles en copropriété, situés dans 8 arrondissements de Paris (IIe, Xe, XIe, XIIe, XVe, XVIIe, XVIIIe et XXe) et représentant un peu plus de 8 000 appartements.

Ce n’est que la suite de ce qui s’est déjà passé entre 2008 et 2013, période au cours de laquelle la ville de Paris a racheté 188 bâtiments représentant 3 573 appartements.

Mais la nouvelle stratégie d’acquisition se veut encore plus ambitieuse, avec l’objectif de réquisitionner deux fois plus de logements.

Cette stratégie repose sur 3 critères de sélection des immeubles : ils doivent dépendre du régime de la copropriété, être situés dans une zone de déficit en logements sociaux et, enfin, abriter déjà des personnes aux revenus modestes.

Il s’agit donc d’une méthode qu’on pourrait qualifier de « plus sournoise » car elle se présente sous la forme de création de logements HLM disséminés dans des copropriétés privées !

Ce qui réjouit Ian Brossat : « Cela permet d'instaurer une mixité sociale très fine, à l'échelle d'une résidence. 

Au XXe siècle, cela existait dans Paris : les ménages les plus pauvres cohabitaient avec des ménages plus aisés dans le même immeuble, à des étages différents ».

Toujours le modèle communiste cher à Ian Brossat !

Autre avantage qui met en extase l’adjoint d’Anne Hidalgo : les propriétaires de logements privés, que Ian Brossat considère comme « riches », verront la valeur de leurs biens baisser automatiquement, en raison de l'arrivée de logements sociaux dans leur immeuble !

Ce que Ian Brossat a résumé par la formule militante : « Nous allons utiliser une vraie arme anti-ghetto !»

La résistance contre Anne Hidalgo s’organise 

Dès le vote du programme de préemption en Conseil de Paris en 2014 et la parution de la liste des 257 immeubles visés, les présidents des conseils syndicaux et les syndics de ces immeubles ont vivement réagi, arguant du fait qu’ils n’avaient pas été informés au préalable. Un « Collectif des 257 » a même été créé.

Depuis 2015, les actions contre le « Droit de préemption urbain renforcé » se multiplient auprès du Tribunal administratif de Paris. Certaines ont eu gain de cause.

2019 : victoire d’un syndicat de copropriétaires

Dans sa stratégie, la Ville de Paris a sélectionné les immeubles à préempter selon les critères définis par l'Atelier parisien d'urbanisme (APUR) : des immeubles privés qui regroupent plus de 70% de logements d'une ou deux pièces et plus de 70% de logements occupés par un locataire.

Le syndicat des copropriétaires d’un immeuble concerné a fait un recours car 14 des 43 lots étaient occupés par des copropriétaires, ce qui représentait 67,4% de locataires.

Et non pas 70% minimum !

En conséquence, en appliquant la propre règle posée par la ville de Paris, le Tribunal a annulé le droit de préemption de cet immeuble !

2022 : la mairie du XVIe ne se laisse pas faire !

Le maire, Francis Szpiner, refuse en effet de laisser la Ville de Paris préempter l’immeuble du 75 bis, rue d’Auteuil pour réaliser un programme de logements sociaux dont le coût dépasse les 7 millions d’euros (4,9 pour la préemption, plus 2,6 pour l’éviction des commerçants), sans compter les travaux !

Notons que, selon un avis du Conseil d’État, si la loi prévoit que le maire d’arrondissement soit consulté pour avis sur tout projet d’acquisition ou d’aliénation d’immeuble réalisée par la Ville de Paris, la loi prévoit aussi que « s’agissant spécialement des procédures de préemption, le maire d’arrondissement soit seulement informé des déclarations d’intention d’aliéner (DIA) des biens situés dans l’arrondissement et soit informé, chaque mois, des suites qui leur ont été réservées ».

L’avis d’un maire d’arrondissement sur un projet d’acquisition par voie de préemption n’est donc pas nécessaire !

Quoi qu’il en coûte, la mairie de Paris continue ses préemptions.

Février 2021

La Ville de Paris fait jouer son droit de préemption et acquiert un immeuble situé 5, passage Jean-Nicot dans le VIIe arrondissement, pour 1,9 million d’euros, selon une délibération adoptée par le Conseil de Paris le 2 février 2021

Mai 2021

La Ville de Paris préempte un immeuble de bureaux de 800 m2, situé au 210, rue Saint-Denis, en plein cœur du deuxième arrondissement, dans le quartier du Sentier.

Coût d’achat : 8,5 millions d’euros pour 17 logements sociaux. Le chantier est géré par Paris Habitat, premier bailleur social de la ville.

Paris : un budget Logement en hausse de 40,8% !

Pour atteindre les 40% de logements sociaux d’ici 2035, Ian Brossat vient d’obtenir que son budget annuel pour réaliser son « programme de mixité » destiné à racheter des hôtels particuliers, des immeubles avec copropriétaires privés et des bâtiments de l’État français, passe de 142 à 200 millions d’euros, soit une augmentation de 40,8% !

Ce qui autorisera la mairie à préempter une quarantaine d’immeubles par an, représentant plus de 800 logements…

Publié le jeudi, 16 mars 2023

11 Commentaires

  • Lien vers le commentaire fabrice mercredi, 05 avril 2023 Posté par fabrice

    Lira, il n'y a pas que de la racaille dans les immeubles hlm de Paris, beaucoup travaillent. Bien entendu comme partout en France on y trouve des gens qui ne travaillent pasn qui vivent d'allocations et de trafics divers, mais ce n'est pas une majorité. A titre d'exemple, une caissière de supermarché, mère célibataire, avec 1 enfant, a droit à un logement PLAI, c'est à dire à faibre loyer, est-ce que pour autant cette femme est une racaille ?Il faut dire qu'un seul parasite met souvent la pagaille dans tout un immeuble, voire un quartier, mais cela est dû à nos gouvernants qui ne prennent pas les mesures adequates pour traiter le problème malgré des lois qui le permettent. Les coupes-gorges et autres points de deal sont connus, pourquoi n'y a t-il pas plus d'interventions de la police ? Pourquoi n'envoie-t-on pas la BRAV-M ?
    Il y a une expression qui me plait : il ne faut pas mettre tous ses oeufs dans le même panier ! En matière de logements sociaux c'est pareil. Il ne faut pas faire des quartiers entiers, mais en construire un peu par ci, un peu pas là et ils passeront inaperçus.

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  • Lien vers le commentaire fabrice samedi, 01 avril 2023 Posté par fabrice

    Revel, pourquoi ne devrait-il y avoir que des gens aisés dans Paris ? Paris se vide de ses habitants, pourquoi ? Ils ne veulent pas cohabiter avec de petites gens ? Les logements sociaux ne sont pas occupés que par la racaille. Le scandale est ailleurs, il est dans le non respect des lois par les communes riches qui rejettent les gens à petits revenus loin de chez elles, provoquant la concentration de logements à loyers modérés dans des villes plus "pauvres" ce qui occasionne des quartiers malsains. Effectivement un ouvrier n'a pas le même train de vie qu'un PDG, mais pour autant l'ouvrier doit-il se contenter de vivre loin de son travail pour laisser la place à de plus nantis ? Il y a bien sûr une partie des locataires qui ne sont pas originaires de France et qui ne viennent que pour profiter de la gentillesse de la France, des locataires qui ne vivent pas selon nos us et coutumes et qui trop souvent "pourrissent" un quartier, mais cela n'est pas la faute des ceux qui respectent tout et travaillent dans la capitale, ils sont les victimes de la politique scandaleuse du gouvernement en matière d'immigration.

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  • Lien vers le commentaire fabrice samedi, 01 avril 2023 Posté par fabrice

    Le discours de Delphine est une forme de prèche pour sa paroisse. En effet, le logement social n'est pas une source de revenus pour les agences immobilières. Elle a raison en ce qui concerne l'occupation de nos jours, trop de gens au modes de vie qui ne s'accomodent pas avec celui des Français, ce qui crée des problèmes sociaux. Mais il ne faut pas voir que le mauvais côté des choses, leslogements locatifs sociaux sont nécessaires et il en manque beaucoup pour loger les ménages à petits revenus. Les loyers du parc privé sont trop souvent trop chers. Je connais un groupes d'immeubles qui ne devaient être que de l'accession privée mais la crise de 2008 a fait qu'une partie a été vendu à un bailleur social. Il ,est vrai que les investissuers qui avaient acheté pour louer sont les dindons de la farce, la bailleur loue à moitié prix par rapport aux loyers des privés. Il y a trop de cités hlm à certains endroits occasionnant des ghettos et pas assez à d'autres comme à Paris et certaines grandes villes réputées comme riches. J'ai habité quand j'étais jeune un quartier fait d'immeubles hlm, dans les années 60-70, on était très bien, tout était propre, les parents travaillaient tous et la vie était agréable. Aujourd'hui quand je passe dans ce quartier je ne le reconnais plus, c'est un autre monde et c'est très sale. De jour comme de nuit, il y a des gens dans les rues, il semblerait que personne ne travaille, le quartier ressemble à une ville non européenne. Il serait nécessaire de démolir plus d'immeubles anciens dans ces quartiers et de construire ailleurs plus diffus en obligeant les villes à respecter la loi SRU, obliger les communes qui ne la respecte pas à construire des logements sociaux en obligeant les préfets à se substituer aux maires récalcitrants. Cela éviterait la concentration dans les villes moins huppées.

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  • Lien vers le commentaire LIRA vendredi, 31 mars 2023 Posté par LIRA

    Cette politique immobilière de la ville de Paris est allée d'un extrême à l'autre depuis les années soixante-dix. Autrefois, c'était bien partagé. Ensuite, le prix du mètre carré a bondi chassant des Parisiens . Puis, depuis la Gauche aux manettes, c'est le saccage et la dégringolade de la .
    Comment accepter l'idée que des immeubles prestigieux puissent être occupés par des racailles sous perfusion de l'État? En province, c'est la même politique: des immeubles Renaissance hlmisés. Encore que là, ce sont (pour le moment) des locaux aux modestes revenus. Dans cinquante ans, à ce train-là, Paris fera rigoler les Étrangers et pleurer les Français.

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  • Lien vers le commentaire Rollet vendredi, 31 mars 2023 Posté par Rollet

    Ok pour la mixité, mais pourquoi ne pas sortir du parc social tous ceux qui ont des revenus trop hauts pour se voir accorder de tels logements, cela fera déjà des économies. Les familles de dealers seraient aussi concernées.

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  • Lien vers le commentaire DROMPT vendredi, 31 mars 2023 Posté par DROMPT

    Pourquoi les "pauvres" auraient-ils les même droits que les "riches" d'habiter Paris ??? Il y a aura toujours des "pauvres" et des "riches" qui n'y habiteront pas!!! A quoi cela sert il de faire encore et encore la "lutte des classes"??? Encouragez plutôt les gens à faire comme le créateur de l'Oréal, leurs trous eux même et non d'être parachutés de pays dits "pauvres" pour être logés dans des pays dits "riches "au détriment des habitants de ces pays. Encouragez les gens originaires des pays dits "pauvres" à rester dans ces pays, les développer et rendre à leurs prédécesseurs ce qu'ils leur ont apporté et aider leurs "pauvres" leurs "handicapés, aveugles, malades, orphelins, veuves etc....au lieu de venir parasiter la vie d'autres peuples quand ce n'est pas d'autres religions..
    Assez de toutes ces aberrations politiciennes, mais cela doit être rentable pour tous ces politiciens !!!

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  • Lien vers le commentaire François vendredi, 31 mars 2023 Posté par François

    Premiere chose à faire;
    Changer la loi électorale pour l'election des maires de Paris, Lyon et Marseille.
    Après ont verra si ces connards seront toujours aux commandes.

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  • Lien vers le commentaire Delphine vendredi, 31 mars 2023 Posté par Delphine

    Bonjour, travaillant dans l'immobilier, je peux temoigner de la terrible erreur commise par la ville de Paris. il s'agit d'idéologie à très courte vue, sachant que les bénéficiaires voteront à gauche pour les prochaines élections. Mais certainement pas pour la suite. D'autre part, certains arrivants considerent que tout leur ait du et ne prennent aucun soin des appartements qui ont coûté si cher en rénovation.
    D'autres sont soigneux, mais uniquement à l'intérieur de leur logement.
    il y a aussi d'autres modes de vie, qui donnent rapidement envie à d'autres de quitter les lieux.
    l'idéologie tuera Paris et bien d'autres choses, et il est à craindre qu'elle entrainera ses propres promoteurs dans sa chute.
    mais trop tard pour tout le monde.

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  • Lien vers le commentaire Fabre vendredi, 31 mars 2023 Posté par Fabre

    Merci pour cette étude très fouillée avec l’espoir qu’elle sera régulièrement mise à jour en particulier concernant les copropriétés

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  • Lien vers le commentaire fabrice jeudi, 30 mars 2023 Posté par fabrice

    Il y a 2 choses dans ce discours. D'une part les logements sociaux, ils sont utiles, pourquoi ne devrait-il y avoir que des riches pour habiter Paris et mettre les pauvres loin de la capitale ? D'autre part, effectivement il y a trop de bénéficiaires qui arrient d'ailleurs, qui ne travaillent pas et qui profitent de ces logements qui devraient réservés aux travailleurs à petits revenus. Trop de communes riches ne respectent pas la loi et préfèrent payer des indemnités plutôt que de construire des logements hlm. La loi permet aux préfets de se substituer aux maires et de bloquer des programmes privés pour faire des programmes de logements locatifs. Mais troppeu le font, alors que ce devrait-être obligatoire. La population est de plus en plus pauvre et les logements du privés ont des loyers trop élevés et souvent très gourmands en énergies. Il est nécessaire de construire suffisamment de logements locatifs de bonne qualité.

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