Contribuables Associés

Contribuables Associés

Vous connaissez sans doute notre classement des pires ronds-points de France ? Cette folie purement française des giratoires coûte un prix démentiel au contribuable français...

Découvrez notre vidéo : 

[quix id='260' name='rond points VIDEO ']

Quel est le coût pour le contribuable de l'Union européenne ?

[quix id='259' name='UE VIDEO (2)']

Les vidéos de l'été #1 : Les 3 taxes qui trouent votre porte-monnaie ? !

Retrouvez ici notre vidéo de l'été sur le thème des taxes qui font mal aux contribuables.

[quix id='258' name='3 TAXES VIDEO']

« Les Français ont transformé les avantages extraordinaires qu’ils avaient en droits acquis sans contrepartie… Du temps du Général de Gaulle, les Français étaient au service de la France. Ils ont mis la France à leur service. »

Nous avons rencontré le célèbre journaliste et essayiste François de Closets à l’occasion de la sortie de son dernier ouvrage ‘La parenthèse boomers’ Réconcilier les générations.

Retrouvez son analyse des 50 dernières années : comment la France si prospère dans les années 1970 est aujourd’hui sur la voie du déclin.

Selon lui, la génération des soixante-huitards a une grande responsabilité dans ce qui arrive aujourd’hui à la France et aux Français.

Guerres, croissance, société, santé, niveau de vie, travail, politiciens et gouvernements : François de Closets nous livre son interprétation et ses idées pour réconcilier les générations et préparer l’avenir.

Voici la vidéo de cet entretien éclairant et très complet : [quix id='257' name='Vidéo Closets']

Qu’entend-on par consistance du logement ?

C’est sa surface développée, dimensions prises essentiellement au sol. En effet, les pièces mansardées sont mesurées en dessous d’une hauteur de 1m80. Il est donc question de surface balayable ou de surface où l'on passe l'aspirateur.Par affectation, on entend les pièces à usage d’habitation et les annexes incorporées ou non telles que les garages, les caves ou les celliers, les buanderies, les chaufferies, etc… ;les combles et les terrasses. Ces éléments ont une pondération allant de 0,2 à 1.

  • 0,2 pour les greniers, mais aussi pour les terrasses couvertes ou non ainsi que les bûchers.
  • 0,3 pour les caves, celliers, buanderies, etc. non accessibles de l’intérieur.
  • 0,4 pour les caves, celliers, buanderies, etc. communicants ; pour les abris voitures.
  • 0,5 pour les garages non communicants.
  • 0,6 pour les garages communicants, mais aussi pour les combles aménageables, les vérandas non chauffées et les entrées fermées.
  • 1 pour des combles aménagés ou des vérandas chauffées.

Ces exemples ne sont pas une règle absolue, chaque CDIF et régions ont les leurs.

Précision 

0 pour les greniers accessibles de l’intérieur par trappe de visite ou par échelle de l’extérieur.Explication :

Une cave de trente mètres carrés, accessible sans sortir dehors, aura une surface taxable de 30 X 0,4 = 12 m².Rappel :

La révision foncière des valeurs locatives date de 1970. En ce temps-là, les éléments dits de confort représentaient les sanitaires et le chauffage central ou par convecteurs électriques fixés au mur.Les règles n’ont pas changé même si dans l’espace temporel actuel 2004, une habitation décente doit posséder la plupart de ces dits éléments.Aussi les services du cadastre appliquent des équivalences superficielles à ces éléments qui rentrent dans le confort de la maison :

  • Eau : 4 m²
  • Gaz : 2 m²
  • Électricité : 2 m²
  • Wc : 3 m²
  • Baignoire : 5 m²
  • Receveur de Douche : 4 m²
  • Lavabo, bidet, autre : 3 m²
  • Tout-à-l'égout : 3 m²
  • Chauffage central : 2 m² par pièce dont cuisine et salle d’eau.

La situation correspond à celle du quartier au sein de la commune ou situation générale.Elle correspond à l’emplacement de la maison dans son cadre ou situation particulière.Depuis l’élaboration du Plan de Gêne Sonore, la Commission Communale des Impôts Directs Locaux en son temps a décidé, que toute la commune avait une situation générale ordinaire, soit aucune incidence, ni majoration, ni minoration.L’appréciation de la situation particulière date de la dernière et initiale révision soit de 1970.Il a été affecté en ce temps-là un coefficient + 0,05 pour votre maison.

Méthode de calcul 

La fiche de calcul 6675M que vous détenez détaille les éléments suivants :

  • Surface : 70 m²
  • Coefficient de situation relative et ascenseur : 1,25 + 0,05 = 1,30.

Soit appartenant neuf et situation particulière pour la situation relative.

  • Équivalences superficielles : 33 m²
  • Surface pondérée totale : 133 m²
  • Catégorie : 4
  • Local de référence n° 30
  • Tarif du m² pondéré : 8,38 euros
  • Valeur locative cadastrale : 1 115 euros.

Il faut vérifier depuis le passage à l’euro si votre base brute TH correspond bien à :(2 570 / 6,55957) X Coefficient département 24 X Coefficient de revalorisation national cumulé.Par déclaration modèle H2, que vous avez souscrite, s'il devait y avoir une divergence importante avec la fiche de calcul 6675M, que vous devez vous procurer pour faire un état de rapprochement, vous porterez à la connaissance du CDIF dont vous relevez, les renseignements indispensables à la mise à jour de votre appartement.Surface totale des pièces et annexes affectées exclusivement à l’habitation : 70 m²Surface comparative retenue art.324-O annexe III du CGI (approximation) : 79 m²(Il faut connaître la catégorie affectée de votre immeuble)Surfaces loggia, négligeable au regard des pondérations appliquées.En fait, elle n’a pas été prise en compte et la surface comparative a été calculée à la baisse.Total : 79 m²Correctif d’ensemble art.324-Q et 324-R annexe III du CGIÉtat d’entretien Bon (1,20) et Ascenseur +0,05 + situation particulière + 0,05 X 1,30Surface pondérée nette 102,70 m²Surface retenue………………………………………………………………………….102 m²Équivalences superficielles au vu du plan remis :

Eau (4m²) +

Gaz (m²) +

Électricité (2m²)

Wc (3m²) +

3 lavabos (9m²) +

Baignoire (5m²) +

Receveur de Douche (m²) +

Tout-à-l’égout (3m²) +

Chauffage central (2m² X nombre de pièces dont cuisine et salles d’eau(5) = 10m²)

Soit : 36 m²

La correction à 33 m² se fait d’elle-même s’il y a seulement deux lavabos et non trois.Vous avez les équivalences pour pouvoir vous-même corriger.Un lave-mains est considéré comme un lavabo ainsi qu’un bidet.Surface pondérée totale 135 m²Surface retenue 133 m².Calcul de la valeur locative cadastrale :Catégorie de référence et tarif applicable : catégorie (4) soit local de référence 30 de la commune où vous résidezau tarif de (8,38) € le m² pondéré 1 114,54 €arrondi à : 1 115,00 €Ces renseignements sont sur la fameuse fiche de calcul 6675M.Il y a moyen à partir de votre avis d’imposition Taxe Foncière ou Taxe d’habitation de vérifier l’exactitude de votre valeur locative cadastrale.

Manière de procéder :

Vous divisez votre base brute d’imposition inscrite sur l’avis de TH, par le coefficient appliqué à la valeur locative cadastrale base 1970, soit (coefficient de revalorisation départemental + coefficient d’actualisation annuel cumulé).Il est nécessaire aussi de connaître le local type pris comme référence pour comparer la catégorie de votre immeuble.Vous demandez à avoir communication de la ligne 30 du Procès Verbal d’évaluation 1970.Votre Mairie doit détenir un exemplaire des PV pour mise à disposition des assujettis.Les fiches 6675 M , 6675 M exp et 6675 H sont toutes conçues de la même façon.Elles reprennent les éléments relatifs aux évaluations des locaux d’habitation et/ou professionnels.La 6675 H est plus détaillée car elle décrit le calcul entre la surface réelle et la surface pondérée comparative.Sur la 6675 M exp, nous avons (70 X 1,30 ) + 33 = 133.

Le calcul est éludé car en fait c’est (79 X 1,30) + 33 = 135Avec 79 = (20 X 1,70) + (50 X 0,90)Il faut reconnaître que ce n’est pas évident et aisément opposable, cela nécessite une certaine gymnastique intellectuelle.Les parkings sont imposés à part comme lot de copropriété.Ils ont également leur propre fiche de calcul.Il n’y a pas de pondération, car ils sont pris pour leur surface avec un tarif approprié pour les parkings non couverts.En tant que lot de copropriété, il n’est pas nécessaire que l’emplacement soit délimité.

Utilisez-vous tout de même chaque fois le même emplacement ?

La surface que vous avez prise est la plus basse, vous devez moyenner en prenant la longueur centrale, ainsi on obtient bien la surface taxable.

Lucien Bory-Harang
Porte-parole de ANARILD "Mieux Comprendre"

Que pouvez-vous faire pour empêcher un projet d’éoliennes de voir le jour ?

Qu’est-ce qui est laid, coûteux et inutile ? Non ce n’est pas l’art contemporain. Ce sont les éoliennes. Ajoutons à cela qu’elles se répandent grâce à un savant mélange de démagogie écologiste et de déballage d’argent public, et on obtient une véritable machine infernale.

Si vous êtes assez heureux pour habiter dans la belle campagne française ou sur le littoral, vous êtes susceptible de voir votre environnement colonisé par ces immenses pales métalliques, qui, au passage, dégagent plus de deux fois plus de CO2 par kilowattheure qu’une centrale nucléaire (un chiffre toujours bon à avoir en tête pour dépassionner le débat).

Que pouvez-vous faire pour empêcher un projet d’éolienne de voir le jour ? Le Figaro a produit de très bonnes idées pour s’en prémunir. Le plan d’action tient en trois mots : cohésion, information et recours aux élus.  

Cohésion parce que seul vous n’arriverez à rien : il faut monter une association avec les autres habitants concernés et entrer en contact avec d’autres associations engagées pour la même cause.

Information pour vous et pour les autres : vous devez tout connaitre du projet de construction, depuis son emplacement jusqu’aux protections environnementales, en passant par le producteur et les conclusions de l’étude d’impact.

A charge ensuite de participer à l’enquête publique et d’organiser des réunions publiques, des relais médiatiques dans la presse locale et des tractages pour informer les autres riverains de ce qui les menace.

Et enfin un recours aux élus peut être nécessaire : d’abord en alertant votre député, à votre sénateur et à vos conseillers régionaux, puis en écrivant au préfet pour contester l’autorisation préfectoral.

Plusieurs arguments peuvent être invoqués : « les nuisances trop fortes imposées aux riverains (les éoliennes font du bruit et clignotent de jour comme de nuit), l’atteinte portée à la qualité des paysages ruraux, la présence d’un monument historique (…), le fait que le procureur ait omis de faire une demande de dérogation officielle concernant la dérogation d’espèces protégées, ou que son projet n’est tout simplement par rentable », en particulier si la force des vents est inférieure à celle avancée par le promoteur.

Un recours contentieux peut également être déposé.

Si vous ne l'avez toujous pas fait, commandez ici notre étude Ecologie, le nouvel Eldorado du Fisc 

étude écologie

La valeur locative cadastrale est la pierre angulaire de toute évaluation relative aux impôts directs locaux, qu’il s’agisse de la taxe foncière (revenu cadastral) de la taxe d’habitation, mais aussi de la taxe d’enlèvement des ordures ménagères.

 

Les règles d’évaluation ont été définies, voici maintenant plus de trente ans. Aussi des distorsions importantes existent malgré l’actualisation départementale de 1981 et les revalorisations annuelles et nationales appliquées chaque année.

Pour exemple l’augmentation annuelle est de 1,015 ces dernières périodes.

A l’origine, la valeur locative cadastrale était sensée représenter le montant du loyer annuel d’un bien loué dans des conditions normales et régulières, soit au vu d’un bail d’habitation ou professionnel ou aussi commercial.

Il est aisé de constater que la base d’imposition actuelle mentionnée sur un avis d’imposition à la taxe d’habitation est loin de représenter le montant du cours du marché d’aujourd’hui.

Pour exemple, quand il est mentionné 6 300, l’habitation peut être louée sans fantaisie au moins 9 600,00 euros à l’année soit 800,00 euros par mois.

Quels sont les postes pris en charge dans le calcul par comparaison de la valeur locative cadastrale ?

Ces postes sont au nombre de quatre, soit :

- La contenance ou superficie utile de l’habitation, c’est-à-dire les surfaces mesurées au sol, il importe peu la hauteur sous plafond, dans l’inconscient collectif limitée à 1m80.

- Le coefficient de situation relative qui est la somme des coefficients d’entretien, de situation générale et de situation particulière.

- Les éléments de confort auxquels sont appliqués des équivalences superficielles. L’évaluation datant des années 1970-73, il était considéré comme confort, ce qui aujourd’hui semble être convenu de l’élémentaire décence.

- La catégorie de l’habitat au point de vue de sa structure et de son architecture. Les habitations sont classées en huit catégories de 1 à 8, avec des catégories intermédiaires type 5M, 6M, 4M, 3M. Les catégories 8 et 7M ont pratiquement disparues même s’il doit encore exister des exemples pour confirmer la règle.

Lucien Bory-Harang
Porte-parole de ANARILD "Mieux Comprendre"

Indemnités illégales des membres du Conseil constitutionnel : le combat continue ! Contribuables Associés défend les contribuables contre toute forme d'abus de pouvoir et lutte contre la corruption et les atteintes à la probité publique par des recours à des actions judiciaires.

Pendant que les contribuables se serrent la ceinture et sont ponctionnés de tous côtés par les impôts et taxes, l’argent de NOS impôts finance des privilèges injustifiés.

Depuis plus de 20 ans, les membres du Conseil constitutionnel, aujourd’hui présidé par Laurent Fabius et dont Alain Juppé est membre, bénéficient d’une indemnité de fonction complémentaire à leur rémunération.

Ce qui fait que les membres du Conseil constitutionnel touchent au total 16 000 euros brut par mois. C’est même 17 600 euros brut pour le président Laurent Fabius.

Des rémunérations supérieures à celle du chef de l’État !

Et en plus, la plupart des membres du Conseil constitutionnel additionnent des pensions de retraite à leur indemnité compensatoire.

Le très gros problème est que cette indemnité compensatoire est illégale, car elle a été créée en 2001 par la secrétaire d’État au Budget, Florence Parly, qui n’est pas compétente en la matière.

Cette indemnité a été instaurée en violation de l'article 6 de l'ordonnance n°58-1067 du 7 novembre 1958 et de l'article 63 de la Constitution.

Cette situation est d’autant plus grave qu’elle perdure depuis plus de vingt ans et que le coût estimé pour les comptes publics est de plus de 20 millions d’euros.

Nous avons demandé au ministre de l’Économie et des Finances, Bruno Le Maire, d’agir contre ces pratiques. Il n’a rien fait.

Nous avons demandé au président de la République d’agir contre ces pratiques. Il n’a rien fait.

 

Bouton action conseil constitutionnel

C’est pourquoi Contribuables Associés a déposé en octobre 2021 une requête devant le conseil d'État pour obtenir la suppression de ces indemnités illégales et le remboursement des sommes indûment perçues.

Le conseil d’État a rejeté notre demande jugée « irrecevable », au motif que notre association « ne justifie pas d’un intérêt lui donnant qualité pour agir. »

Quel scandale ! Nous qui défendons les contribuables, qui nous battons contre les gaspillages de l’argent public, on nous dénie tout droit à agir.

Si une association de contribuables ne peut pas se saisir d’une affaire qui a trait à l’argent public, qui le peut alors ?

Le Conseil d’État se moque de nous et de tous les contribuables français. On l’a compris, la Caste défend ses privilèges…

Par ce refus, le pouvoir essaie de nous faire taire. Mais il n’y parviendra pas !

Nous continuons le combat.

En droit français, la décision du Conseil d’État ne peut faire l’objet d’aucun recours.

Mais la décision du Conseil d’État fait que les Contribuables Associés sont victimes d’une violation avérée de leurs droits et libertés garantis par la Convention européenne de sauvegarde des Droits de l’Homme et des Libertés fondamentales (CESDH).

« Toute personne a droit à ce que sa cause soit entendue équitablement, publiquement et dans un délai raisonnable, par un tribunal indépendant et impartial, établi par la loi, qui décidera, soit des contestations sur ses droits et obligations de caractère civil, soit du bien-fondé de toute accusation en matière pénale. » (Article 6 paragraphe 1 de la CESDH)


C’est pourquoi nous avons décidé de saisir la Cour européenne des droits de l’homme pour faire valoir les droits des contribuables.

Nous ne lâcherons rien afin d’obtenir la suppression des indemnités illégales des membres du Conseil constitutionnel.

Vous pouvez compter sur nous. C’est un combat pour la justice et l’équité.

Nous vous tiendrons informés des suites de cette affaire.

Contribuables Associés

Aidez-nous à porter à la connaissance de tous notre action et soutenez notre attaque en justice contre les indemnités illégales des membres du Conseil constitutionnel. Rendez- l’argent ! Cliquez ici ou ci-dessous. 

Bouton action conseil constitutionnel

 

 

« Je crois que l’équation va être très compliquée pour tous les politiques. La dette atteint les 45 000 euros par Français. Les chiffres sont tellement stratosphériques… Il y a un véritable problème, c’est le pouvoir d’achat des Français. »

Frédéric Douet, professeur universitaire en droit fiscal, membre du Conseil des prélèvements obligatoires et du Cercle des fiscalistes a accepté de répondre à nos questions. 

Payons-nous trop d’impôts en France ? Quelle est notre perception de l’impôt ?

Cet expert ès-fiscalité revient sur de nombreux sujets : prélèvements obligatoires, impôt sur la fortune, pression fiscale et inégalités, dégradation des services publics, prélèvement à la source, marchés publics, droits de succession et de donation, fiscalité des énergies, impôts locaux, fraude sociale, fraude fiscale, dysfonctionnement de l’administration fiscale, TVA et pouvoir d’achat…

Frédéric Douet, alias Fiscalitor sur Twitter, conclut cet entretien en indiquant qu’il fait le pari que moins d’impôt ne tuerait pas l’impôt (sic).

Voici la vidéo de cet entretien éclairant et très complet : [quix id='254' name='Vidéo doute']

Notre directeur Bartolomé Lenoir était l'invité de Sud Radio ce mercredi 12 mai 2022 pour faire le point sur les impôts en France, à l'heure de la  déclaration de revenus. Il était accompagné de notre fiscaliste Olivier Bertaux, l'auteur de notre étude "Droits de succession et de donation : un état des lieux".

Pour regarder la vidéo intégrale :

[quix id='255' name='sud radio video']

 

"Droits de succession et de donation. Un état des lieux" par Olivier Bertaux Etude droits de succession

Points clés de cette étude 

  • Le patrimoine se conçoit non pas comme un bien personnel mais comme un bien familial. Taxer une transmission aux enfants ne peut donc pas être motivé par un transfert de propriété puisque le patrimoine reste dans la famille. Les droits de succession et de donation sont des impôts anti-famille.
  • En ligne indirecte, la taxation peut atteindre 60 %. Confisquer plus de la moitié d’un patrimoine lorsqu’on veut le transmettre s’apparente à de la spoliation rendant inacceptable une telle taxation.
  • L’exonération des donations créerait un mouvement de transmissions anticipées où l’État pourrait se retrouver gagnant : l’argent donné aurait vocation à être rapidement investi ou consommé par le bénéficiaire.

Bouton je commande